Ukrainian resistance fighters have struck a major blow to Russian military.
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Le 26 juin, des partisans ukrainiens, en coordination avec la Direction principale du renseignement de la défense ukrainienne (HUR), ont détruit une ligne ferroviaire utilisée par les forces russes pour transporter du matériel militaire.
L’explosion a paralysé le trafic ferroviaire pendant plus d’une semaine.
Malgré les efforts russes pour réparer la section endommagée et reprendre les transports le 1er juillet, les partisans ukrainiens ont frappé à nouveau, neutralisant une locomotive russe peu après son entrée sur le segment réparé – bloquant une nouvelle fois un axe logistique clé pour les forces russes dans la région.
Des drones visent les réserves de carburant
Plus tôt, le 22 juin, des drones ukrainiens ont ciblé un train de marchandises militaire russe transportant du carburant dans la région occupée de Zaporijjia.
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L’opération, menée par l’unité spéciale ukrainienne « Kabul 9 » en coordination avec d’autres unités, a désactivé la locomotive et provoqué l’incendie d’au moins 11 wagons-citernes.
Des images aériennes capturées par le HUR montrent des flammes et une épaisse fumée noire s’élevant du site — visible jusqu’à 20 kilomètres à la ronde.
Ces attaques coordonnées ont gravement endommagé l’infrastructure ferroviaire, perturbant la logistique militaire russe dans la région.
Petro Andriushchenko, directeur du Centre d’étude de l’occupation, a confirmé que la ligne resterait hors service pendant plusieurs semaines.
Une résistance active et persistante
Les récentes opérations de sabotage s’inscrivent dans le cadre d’une campagne plus large des groupes de résistance ukrainiens, visant à perturber la logistique militaire russe dans les territoires occupés.
Le groupe partisan Atesh a déjà revendiqué plusieurs attaques similaires contre des voies ferrées dans la région, dans le but de ralentir le déplacement des troupes et des approvisionnements russes.